Notre cerveau, hélas, ne fait pas le poids face à la malbouffe. Ce que l’on croyait être de simples envies passagères s’avère en réalité profondément ancré dans notre mémoire. Dès la première bouchée d’un aliment riche en gras ou en sucre, certaines régions du cerveau, notamment l’hippocampe, enregistrent non seulement le goût, mais aussi les …
